Publié par Eplaque
Posté le 24 décembre 2021 - Mis à jour le 18 février 2022 - 2 min de lecture ⏳
Récemment, les véhicules respectueux de l’environnement connaissent un franc succès. Cette popularité a manifestement engendré des dérives du côté des marchands, notamment de vélos électriques. Une opération de la répression des fraudes centrée sur le secteur a établi un taux de manquement du respect des réglementations de 41 %. La DGCCRF invite donc les futurs acquéreurs d’un vélo électrique à redoubler de prudence.
La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a passé en revue toute la filière du vélo électrique. De la conformité des engins au respect des règles en matière de notice en passant par les pratiques commerciales, tout a été analysé. Et des irrégularités ont été relevées à tous les niveaux, si bien que dans 4 cas sur 10 des manquements ont été identifiés. Par exemple :
Ce rapport a été établi sur base de vérifications faites en 2020. La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes poursuit ses contrôles dans le secteur du deux-roues. Car outre ces problèmes « techniques », la direction dénonce également les pratiques commerciales trompeuses chez certains commerçants. Par exemple, l’utilisation des dispositifs d’aide (bonus écologique ou dispositifs locaux) afin d’induire en erreur les consommateurs quant au prix réel du vélo électrique. L’obligation d’obtenir une carte grise n’est pas toujours communiquée à l’acheteur. Il circule alors illégalement avec son deux-roues et se retrouve parfois face à des complications pour obtenir une plaque d’immatriculation vélo électrique.